À quand l'Éducation Nationale sous OpenOffice.org ?
Voici la question écrite que j'ai adressée à Gilles de Robien, Ministre de l'Éducation Nationale, publiée au Journal Officiel le 19 septembre 2006.
Monsieur Richard Cazenave appelle l’attention de Monsieur le Ministre de l'Éducation Nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, sur les enjeux et les avantages du logiciel libre.
En effet, l'Etat, conscient de ces enjeux en termes d'indépendance technologique, de pérennité des informations et aussi au plan économique (les logiciels étant gratuits tandis que leur déploiement et leur maintenance s'effectue par des SSII présentes sur le territoire national ce qui permet de soutenir l'emploi national), commence à déployer massivement les logiciels libres dans les administrations.
Ainsi, après l'adoption par la Gendarmerie Nationale de la suite bureautique libre OpenOffice.org (et de son format de fichier ouvert OpenDocument), c'est au tour des ministères de migrer massivement, courant 2007, vers cette suite bureautique libre.
Il est donc temps que l'Education Nationale franchisse le pas et utilise massivement les logiciels libres dans son programme de formation et ne s'en remette pas uniquement à des éditeurs de logiciels propriétaires qui ne se conforment pas aux exigences des standards.
Le Député remercie donc le Ministre de bien vouloir l'éclairer sur les mesures qu'il compte prendre pour remédier à cette situation et permettre ainsi à l'Education Nationale d'assurer pleinement sa mission de formation aux TIC.
Commentaires
On attend avec impatience la réponse ;-)
Ce que le Ministre ne doit pas répondre :
«Les établissements sont libres d'utiliser l'une ou l'autre suite ! Beaucoup de sociétés utilisent (dans la vrai vie) principalement Microsoft . Il ne faut pas opposer monde propriétaire et monde libre car les deux correspondent à un besoin. D'autre part, libre ne veut pas dire gratuit et toute conduite du changement a un coût . »
Ça c'est le discours habituel , formaté et langue de bois qui a pour but de ne froisser personne.
Et pourquoi ne faudrait-t- il pas froisser Microsoft et M Balmer ? Parce que ce dernier est un ami personnel de M Breton ?
La réalité : Oui , beaucoup d' industriels utilisent Word et alors ? L'éducation nationale ne peut elle pas pour une fois anticiper le mouvement vers le format de fichier ODF . La progression de cette norme est exponentielle et on peut espérer que ce format sera un jour le standard du marché .
D'autre part, les .doc sont amenés à disparaître et c'est Microsoft qui le dit . Microsoft voudrait imposer sa norme XML mais le pari est loin d'être gagné et je ne voit pas pas pourquoi , tant qu'à prendre des paris ,on miserait plus sur Microsoft que sur l'ensemble du reste de l'industrie Informatique (IBM,SUN,Novell,Bull, etc )
« Il ne faut pas opposer monde propriétaire et monde libre » !! Ah oui , et pourquoi ne pas dénoncer que l'une fasse 90 % de bénéfice et pompe les finances publiques et celle de nos entreprises ? . Les entreprises (du monde entier) ne sont pas stupides et viendront tôt ou tard aux logiciels libres mais n'est ce pas au gouvernement de comprendre et leur donner l'impulsion nécessaire comme il le fait dans d'autres secteurs plutôt que de laisser « bêtement » le marché décider et nos entreprises prendre encore du retard ?
« Libre ne veut pas dire gratuit » ! Ah , ça c'est l'argument des imbéciles qui n'ont retenus que ça !!
Oui , si Renault m'offre une voiture ( on peut rêver ...), il faudra bien que j'aille la chercher au garage et que je mette un jour de l'essence dedans (ça me coûtera et du temps et un ticket de métro ! ) . Openoffice est gratuit ! Entièrement Gratuit ! Complètement gratuit ! (pour les utilisateurs) Maintenant , si je fais déplacer quelqu'un pour me l' installer , ou pour me former , évidemment , ça va me coûter des sous ! Microsoft se déplace t 'il « gratuitement » pour installer et former les gens à Office une fois que vous avez acheté leur produit ? C'est compris dans la boite ?
Mes enfants , dans leurs scolarité à l'école publique n'ont pas touché à un seul micro-ordinateur de la maternelle au lycée (faute de moyens) . Moi , dans la mienne , j'ai eu la chance de travailler sur To7 et mo5 !
J'ai maintenant la chance de n'avoir aucune appréhension à passer de Windows à Linux , de Unix à OSX , de Word à Abiword , d' Openoffice à Kwrite ! Former les enfants à « Office » est donc une gigantesque connerie qui contribue à les rendre dépendant d'un produit au lieu de leur permettre de s'adapter à différentes situations. En plus , le coût des produits Microsoft pèse sur l'éducation nationale qui pour le coup ne peut pas équiper l'ensemble des établissements .
« Openoffice est déjà déployé dans les écoles . » allez vous me répondre ! Oui et ce n'est pas grâce à vous Monsieur le Ministre mais grâce au nombreux professeurs qui se dévouent malgré les directives de leur administration centrale qui continue à dealer avec Microsoft , (accords cadres , dicours très nuancé etc...) Le terrain attend un signe fort de reconnaissance sur les logiciels libres qui vienne de tout en haut et qui reconnaisse à sa juste valeur le travail accompli.
Merci M Cazenave de nous ouvrir cette tribune .
Bravo pour ce combat tout-à-fait noble et essentiel, en faveur de notre indépendance technologique.
Pour réagir au message précédent de Richard, il est une bataille bien plus importante que celle des logiciels, c'est celle des formats !
En effet c'est grâce au format de ces documents que Microsoft vérouille ses utilisateurs. Plus qu'OpenOffice.org, c'est le format OpenDocument qu'il faut promouvoir. D'autres logiciels de bureautique existent d'ailleurs qui utilisent le format open document. Ils sont d'ailleurs libres (AbiWord, Gnumeric, KOffice...).
La perennité des documents de l'éducation nationale, mais aussi son indépendance technologique, en dépend.
Je réagis au post de François Beretti
- Concernant la bataille des formats, je vous recommande d'une manière générale Formats-Ouverts.org
- Le Référentiel Général d'Interopérabilité émet déjà des recommandations très fortes dans ce sens - sur le fondement que l'ODF est certifié ISO.
- C'est grâce à ce RGI et à la certification ISO de l'ODF que 400 000 postes de l'administration sont destinés à migrer vers OOo (OpenOffice.org) en 2007
Enfin, je rejoins Richard en disant que l'enjeu n'est pas tant l'indépendance technologique de l'Éducation Nationale (qui dépend plus de celle de la France en général) que de l'apprentissage de l'informatique à l'école ; car si on éduque les enfants à un modèle exclusif comme celui de Microsoft, il est évident qu'il leur sera plus difficile par la suite de passer à un outil différent.L'idéal serait, effectivement, que les enfants soient habitués à utiliser plusieurs outils pour mieux s'adapter à des logiciels différents par la suite. En cela, l'utilisation d'Abiword (par exemple) peut être tout à fait complémentaire tout en s'inscrivant dans la double logique d'économie de licences et de conformité aux standards.
Cet article a été référencé sur LePolitoscope.net
Ah, l'Education nationale et les TIC ! Toute une éducation à revoir, si je puis m'exprimer ainsi...
Il n'est pas trop fort de dire que la politique de l'Education nationale en matière de formation aux TIC est une calamité, ni de dire que l'Education nationale, paradoxalement, est certainement l'administration la moins en pointe en la matière (comment l'Education nationale peut-elle assurer correctement sa mission de formation alors qu'elle même est plongée dans l'obscurité de l'ignorance ?).
Pourtant des doutes et des inquiétudes se sont levés tôt :
Dès 2002, un collectif d'enseignants avait lancé une première campagne de libération de l'informatique scolaire www.framasoft.net/article...
Fin 2003, le Ministère de l'Education nationale concluait un accord-cadre avec la société Microsoft France pour deux années (2004-2005) reconductibles, dont l'objectif est de favoriser l'accès à la dernière version de la suite bureautique Microsoft Office (fonctionnant sous Microsoft Windows et incluant notamment le traitement de texte Microsoft Word) www.artesi.artesi-idf.com...
En 2004, l'APRIL émettait déjà le voeu d'une véritable politique de développement du logiciel libre dans l'éducation nationale www.april.org/articles/co...
Ces inquiétudes se sont hélas révélées fondées, puisque l'Education nationale - pourtant censée former les élèves aux TIC - n'a eu depuis de cesse de former essentiellement les élèves à l'utilisation des logiciels commerciaux de la société Microsoft :
En 2005, l'APRIL s'alarmait ainsi en ces termes : "La neutralité commerciale de l'école publique est-elle soluble dans le numérique ?" www.april.org/articles/co...
Récemment, elle était encore contrainte de constater que "L'Éducation nationale vend les produits de Microsoft dès la maternelle" www.april.org/articles/co...
De ce "partenariat" malsain entre l'Education nationale et une société privée en situation de monopole qui a été condamnée au plus haut niveau européen, il résulte :
1° un appauvrissement de l'enseignement : les élèves sont formés à utiliser un seul outil, celui de la société Microsoft. Or, pour citer Jean-Pierre Archambault logiciels-libres-cndp.ac-... : "lécole doit permettre aux élèves dacquérir une culture informatique et non les seules fonctions de base de tel ou tel outil".
L'enseignement devrait donc porter sur l'informatique, les traitements de texte etc. plutôt que sur les logiciels Microsoft Windows et Microsoft Word.
Pour prendre une image, cela revient à dire qu'il faut former les élèves à conduire une voiture et pas seulement une Ford.
2° une compromission grave et irresponsable de l'Education nationale, devenue en fait le premier agent commercial de la société Microsoft, avec d'importantes conséquences à long terme comme à court terme.
A long terme tout d'abord, car en mettant entre les mains des élèves de tous âges des produits de la société Microsoft, l'Education nationale crée de toute pièce la future clientèle captive de Microsoft.
A court terme ensuite, car ce système pernicieux contraint les parents à acheter les logiciels de cette société (Microsoft Windows, Microsoft Word) pour permettre à leurs enfants de réaliser leurs exercices.
On comprend mieux, dès lors, que cette société (connue pour ses pratiques commerciales douteuse) soit prête à tous les rabais pour inonder les classes de ses logiciels commerciaux (en effet, cette société mène de longue date une politique commerciale très agressive à l'égard de l'Education nationale, notamment, semble t-il, en proposant, pour ses produits, des formations gratuites aux enseignants et des tarifs préférentiels à l'Education nationale).
Il s'agit, pour la société Microsoft, d'un véritable investissement permettant d'acquérir potentiellement autant de nouveaux clients que l'Education nationale compte d'élèves!
Je terminerai ce long commentaire (pardon pour sa longueur) en me référant au magazine édité par l'Education nationale début 2005 linuxfr.org/2005/08/17/19... : sa lecture nous apprend que, s'il semble que le système d'exploitation GNU/Linux trouve sa place en interne sur les serveurs, en revanche les logiciels libres sont délibérément maintenus à l'écart du poste de travail.
Il y a véritablement de quoi s'étrangler en parcourant ce très officiel magazine :
"Des postes de travail majoritairement sous Windows avec l'alternative du logiciel libre comme un levier d'une moindre dépendance de l'éditeur Microsoft
Le poids du logiciel libre au sein du système éducatif a été un des éléments qui a permis de négocier avec Microsoft des tarifs particulièrement intéressants sur la suite bureautique Office (moins de 60 ).
Ce tarif attractif a limité le développement des suites bureautiques alternatives qui représentent un peu moins de 10 % des licences dans les services et les établissements. La pression est néanmoins maintenue pour que l'alternative reste un argument de négociation avec l'éditeur."
Pour ma part, il m'est difficile de voir où est "la moindre dépendance" puisque, entre un système payant et un système gratuit, l'Education nationale choisit le système payant! si c'est pas de la dépendance ça...
L'article du magazine se poursuit, de manière édifiante :
"Une démarche pragmatique.
Le logiciel libre a trouvé sa place au sein du SI de l'éducation nationale à un niveau maîtrisé et maîtrisable."
Le pragmatisme ce serait donc un peu de logiciels libres (on imagine qu'une dose symbolique suffirait) mais pas trop car sinon ce ne serait plus maîtrisable?! En quoi trop de logiciels libres rendrait-elle la situation ingérable ? Parle t-on d'organismes vivants dont la multiplication pourrait s'avérer dangereuse ? Le logiciel libre serait-il susceptible de provoquer une sorte de cancer de l'Education nationale si celle-ci venait à être exposée à hautes doses ? Lirons nous bientôt sur les manuels scolaires que "trop de logiciels libres nuit gravement à l'Education nationale" ?
Tout cela a assez duré, et je vous suis très reconnaissant, Monsieur le Député, de vous insurger contre ce scandale.
En un mot (sans compter tous ceux qui précèdent, bien entendu) : BRAVO
Ah, j'oubliais, si besoin était, un dernier argument, évident : le coût, pour l'Education nationale (donc le contribuable), des logiciels Microsoft comparé à l'absence de coût des logiciels libres...
Cet avantage objectif des solutions libres sur les solutions propriétaires a déjà été évoqué dans ces colonnes : www.richardcazenave.com/?...
Quelle a été votre contribution concernant la loi DADVI puisque je n'ai pas entendu parlé de vous sur ce sujet ?
@ Grenoble Alternance
Vous devez être *le seul* ici à ne pas savoir ce que Richard Cazenave a fait sur le DADVSI (au passage, renseignez-vous sur le nom de ce projet de loi, vous avez l'air de l'ignorer...).
Il y a sur ce site web une ressource importante d'informations à ce sujet, et si ça ne vous suffit pas, tapez donc "Cazenave DADVSI" ou "Cazenave droit auteur" dans Google ; vous m'en direz des nouvelles. Et si ça ne vous suffit toujours pas, allez donc faire un tour sur Framasoft framasoft.net/ ou sur EUCD.INFO eucd.info où vous trouverez un certain nombre de commentaires.
Enfin, vous pouvez aussi aller voir sur le site de l'Assemblée nationale la page du dossier législatif du DADVSI, vous devriez y trouver tous les amendements déposés sur le projet de loi, ainsi que les compte-rendus des débats.
Tika,
vous avez du répondant, et vous savez visiblement de quoi vous parlez, en ce qui concerne le DADVSI ! Ce n'est pas comme "Grenoble-Alternance", ni comme "la Voix de son Maitre" (mais n'est-ce pas la même chose ?), qui accusent Cazenave de ne pas assez travailler... j'engage à nouveau tous les blogueurs à se référer à l'article de l'Express de cette semaine qui place en queue de peloton le député MOYNE-BRESSAND, secrétaire départemental de l'UMP Isère par la grâce de Carignon, pour son travail parlementaire! Sans doute est-il trop mobilisé par son boss à barrer la route à Cazenave. Pourtant, j'avais l'impression qu'il se contentait d'apposer sa signature au bas des courriers prérédigés . Alors, pour la "voix de son Maitre", et pour les quelques autres de son style, moi qui ne suis qu'un obscur adhérent de l'UMP, je vous dis"profil bas, messieurs"
Le travail parlementaire n'a décidément pas la même signification chez les partisans du président de l'UMP Isère que chez les électeurs qui attendent autre chose que magouilles politiques, et délires médiatiques.
mais pourquoi vous répondez de cette manière... vous montrez un mépris auprès des auteurs des commentaires qui est assez atypique.
Dans les autres blogs, on peut discuter et débattre d'un sujet sans se faire repousser.
On dirait qu'on vous agresse systématiquement... si vous ne voulez pas échanger avec les bloggeurs, il ne faut pas ouvrir un blog.
Il ne faut pas de sentir persécuter... vous avez l'air inquiet...
Il sent peut-être qu'il va perdre la circo...
Ben, il va la perdre, c'est obligé.
Il n'a aucune légitimité au Comité départemental de l'UMP38 et depuis ces propos sur les nouveaux adhérents, il s'est mis à dos les militants.
Après il va dire que l'UMP est contre lui. Il cherche aussi.
Il va perdre la circo mais c'est normal. Il n'a aucune proposition et aucun projet. Et son bilan est discutable.
Donc il est clair qu'il va perdre la circo.
je ne sais pas s'il va perdre la circonscription, mais ce qu'il y a de sûr, c'est que ce n'est pas Carignon qui va la gagner...!
OpenOffice est une très bonne suite logiciel !
Comme il est très compliqué de faire bouger l'Education Nationale, j'ai du mal à imaginer la migration de Word... par exemple... sur OpenOffice.
Celle-ci peut prendre quelques mois dans une entreprise (on va dire... privée). Mais dans l'EN.... hum... on compterait en années !
Hélas :-)
Petit rappel à l'usage des trollers qui sévissent ici :
Les commentaires sont ouverts pour permettre à tous de s'exprimer sur le sujet traité par le billet. Si vous avez des questions à poser ou des opinions à exprimer qui sont sans rapport avec le billet, vous disposez de l'espace de libre discussion du Forum Citoyens Première. Si vous souhaitez vous adresser au Député, vous pouvez le faire
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- en rendez-vous à sa permanence, au 3 boulevard Maréchal Joffre à Grenoble.
NB : Toutes ces coordonnées figurent dans la partie droite de la bannière, en haut de page.Il serait regrettable que des commentaires comme ceux que le troll n°8 a engendrés (jusqu'au n°15) nous amènent à faire à nouveau de la modération pour hors-sujet, voire à modérer les commentaires a priori.
Je demande donc à chacun un peu de discipline afin de respecter la libre expression des contributeurs de ce blog.
Addenda : Grenoble Alternance/Hervé/Gérard/Marie-Claude/Olivier/Sophie/Fred/Lugi etc. est prié, une fois de plus, de se choisir un pseudo unique.
On se demande pourquoi vous ouvrez un blog car on ne peut pas discuter, ni déposer des commentaires sans être qualifié de trollers.
Soit les commentaires sont cencurés, soit ils sont modérés.
Cela explique peut-être pourquoi vous n'avez pas de commentaire sur votre blog (cf. articles sur Faure Ingenierie et sur l'Ile Verte).
@ Pierre qui s'appelle aussi parfois Gérard,
Je ne suis pas Richard Cazenave, je suis le Modérateur. Mon rôle est de faire que les choses se passent bien, et que chacun puisse s'exprimer.
Lorsque des commentaires n'ont rien à voir avec le sujet, ils polluent la discussion de fond que d'autres souhaitent avoir. C'est pourquoi il est nécessaire d'observer certaines règles.
Il y a suffisamment d'espaces de discussion pour que chacun y trouve son compte.
Vous aussi, vous êtes un pollueur, puisque vous ne cessez de poster des commentaires hors-sujet. C'est à cause de gens comme vous que d'autres ne peuvent pas ou ne veulent pas discuter ; ce n'est pas à cause d'une soi-disant censure qui sévirait ici. Allez voir les commentaires, et réfléchissez vraiment à leur nature : sont-ils tous favorables ? expriment-ils tous la même opinion ? ne posent-ils pas des questions (des vraies) ?
Ce n'est pas à grands renforts de mauvaise volonté, de mauvaise foi et de pollution que l'on participe à un débat. Et encore moins avec des insultes.
Bonne initiative :)
C'est très tôt qu'il faut sensibiliser les jeunes à la gratuité et la liberté, passé 16 ans c'est presque déjà trop tard ^^
Merci :)
La Commission Européenne promeut le logiciel libre dans l'administration www.theregister.co.uk/200...