Nous avons tenu ce matin la promesse d'aller jusqu'au bout de la logique de reconnaissance du génocide arménien.

Il était indispensable de se doter des armes juridiques permettant de sanctionner le négationnisme que nous avons hélas vu à l'oeuvre à St Martin d'Hères ou à Lyon, instrumentalisé de surcroît par les services mêmes d'une puissance étrangère !
C'est ce que ce texte permettra, après son approbation par le Sénat.

Le chemin n'est pas encore terminé, mais la volonté de la représentation nationale, clairement exprimée aujourd'hui sur tous les bancs, est en marche et ne connaîtra pas de recul.

Un combat pour moi commencé dans les ruines de Spitak et Leninakan...