J'avais, jusqu'au bout, espéré que l'Union, qui est l'essence même de la création de l'UMP serait possible, et j'ai œuvré sincèrement dans cette direction.

Je pense que chacun est en mesure de se faire son propre jugement sur la représentativité de l'UMP Isère à l'issue de ce scrutin et sur les méthodes employées pour parvenir à ce résultat.

Je le regrette. Et, dans le même temps, ceci me convainc, s'il en était besoin, de garder mon énergie et ma sérénité pour le travail à accomplir, comme Député de la 1ère circonscription et Secrétaire National de l'UMP et de les consacrer aux défis autrement plus sérieux auxquels la France est confrontée dans un monde en pleine crise.