À l'occasion d'un échange sur la décision brutale de remunicipaliser le Théâtre 145, et d'écarter Le Tricycle qui jusque là animait cet espace, j'ai tenu à mettre en évidence la mascarade que constitue la pseudo co-construction menée par cette municipalité. Les acteurs culturels mais aussi les commerçants et les riverains des projets grenoblois en sont non seulement témoins mais hélas victimes. La colère monte dans la cité...