Mon vote pour le candidat de l'UMP à la présidentielle s'est porté dès le dimanche 7 janvier sur Nicolas Sarkozy. Un Nicolas Sarkozy qui, le 14 janvier à Paris, a multiplié les signes attestant de sa volonté de rassembler toutes nos forces pour le combat suprême. Conjuguant les continuités indispensables (Affaires Étrangères, Défense, institutions) aux ruptures nécessaires (travail, croissance, fiscalité, pouvoir d'achat), s'appuyant sur le bilan pour nourrir de nouvelles ambitions.

Au moment où la candidate socialiste suscite de multiples interrogations sur son projet, il semble que le candidat de l'UMP ait au contraire trouvé un équilibre dynamique augurant d'un large rassemblement populaire, vraisemblablement au-delà des courants qui composent traditionnellement les familles politiques de la droite et du centre.

L'UMP a su transformer le risque de la confrontation des idées en opportunité de rassemblement des énergies. Il est heureux que les débats de décembre aient trouvé écho dans le discours de notre candidat, et place dans notre projet.

L'heure est désormais au rassemblement, car - ne l'oublions jamais - l'élection présidentielle a une particularité redoutable : seuls les deux candidats arrivés en tête au premier tour auront le droit de rester en lice pour le deuxième...