Richard Cazenave

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Pacte national pour le logement

, 15:15

Mercredi 26 octobre, Jean-Louis BORLOO a présenté le projet de loi portant engagement national pour le logement en conseil des ministres.

Afin de rattraper le retard de ces dernières années dans la construction de logements sociaux, Dominique de VILLEPIN s'était engagé en faveur d'un pacte national pour le logement.

Ce projet de loi, répondant à cet engagement, a pour objectif de mettre en place toute une série de mesures très concrètes pour encourager la construction de logements sociaux et amplifier les efforts déjà entrepris dans le cadre du plan de cohésion sociale.

Il s'inscrit dans la lignée des efforts entrepris bien en amont des évènements de violence urbaine qui secouent actuellement notre pays et constitue la démonstration que l'Etat assume pleinement ses responsabilités pour la réhabilitation des zones urbaines défavorisées.

Plus d'informations sur ce projet de loi :

Emploi : des signes encourageants

, 19:06

J'avais interrogé Jean-Louis BORLOO il y a six mois à l'Assemblée Nationale sur la décrue possible du chômage pour fin 2005.

Sa réponse avait été prudente, mais les faits aujourd'hui montrent que l'action engagée, renforcée par les mesures prises cet été par le gouvernement de Dominique de VILLEPIN, a réellement porté ses fruits.

Le taux de chômage de 9,8 % poursuit sa baisse en septembre, et on dénombre 100 000 demandeurs d'emploi en moins depuis le mois de mai. Cette tendance s'affirme d'ailleurs avec 80 000 demandeurs d'emploi en moins et la signature de 100 000 Contrats Nouvelle Embauche dans la seule période des trois derniers mois.

Autant de signes encourageants qui nous indiquent que l'effort doit se poursuivre pour un vrai retour de l'espoir dans ce domaine !

Dominique de Villepin : la croissance sociale et l'emploi

, 09:58

Que l'on partage ou non son idée de "croissance sociale", force est de reconnaître à Dominique de Villepin une conviction - récemment développée sur France 2 - qui ne doit rien aux circonstances.

De même, quand il répète - quand il assène, devrais-je dire - que le recul du chômage est engagé et va se poursuivre (80 000 chômeurs de moins en 3 mois), on a le sentiment - assez nouveau - qu'en effet, quelque chose est en train de se passer !

Encourager le travail plutôt que l'assistanat, mieux récompenser le mérite et l'effort, lever certains freins à l'embauche, c'est dans ces directions que des impulsions ont été données.

D'autres seront nécessaires pour rattraper le retard de croissance sur les États-Unis et la Grande-Bretagne, mais d'ores et déjà, la France fait beaucoup mieux que la moyenne européenne...

Des résultats sérieux confirmés sur l'emploi seraient le signe qu'enfin, nous sommes sur la bonne voie.

Plan BORLOO : quelques précisions

, 10:02

Je souhaite, comme Parlementaire de la majorité, rappeler comme l'a fait Marc-Philippe DAUBRESSE, Ministre délégué au Logement et à la Ville, mercredi à l'Assemblée Nationale, un certain nombre de vérités établies.

S'agissant du financement du Plan de Jean-Louis BORLOO, les moyens financiers ont été attribués à la hauteur des besoins tant par la loi de finances pour 2005 que par la programmation financière votée par le Parlement.

S'agissant des partenariats, la convention avec le 1%-patronal a d'ores et déjà été conclu et la convention avec les représentants des bailleurs sociaux le sera tout prochainement.

Quant au problème crucial du foncier, le Ministre a annoncé que l'action de l'Etat sera exemplaire. Ainsi, les terrains du Domaine privé de l'Etat pourront être vendus avec une décote de 25 % par rapport au prix des Domaines, afin de permettre l'équilibre des opérations de logement public.

Ce ne sont pas là des discours : ce sont des actes.

D'ores et déjà, aucun projet de logement public émanant d'une collectivité locale n'a fait l'objet d'un rejet de la part de l'Etat. Je me mets au défi quiconque de prouver le contraire. Avec le plan BORLOO, c'est une ambition encore supérieure qui est affichée.

Il revient maintenant aux acteurs publics, à commencer par les collectivités locales, de prendre elles aussi leurs responsabilités et d'engager avec les moyens considérables et totalement nouveaux mis à leur disposition par l'Etat, d'engager la politique énergique que nos concitoyens attendent pour faire face à leurs difficultés.

Voir le site correspondant.

Nouveau gouvernement

, 09:52

Plus que jamais un gouvernement pour l'action.

C'est un gouvernement d'hommes et de femmes aguerris, épaulés par une nouvelle génération d'élus issus du terrain. Il témoigne de la volonté du Président de la République de mieux faire comprendre les réformes qui sont, plus que jamais, un impératif d'intérêt général, de préparation de l'avenir et de justice pour notre pays.

Ce gouvernement aura également pour mission d'accélérer la sortie de crise sur le plan national mais aussi européen pour que notre pays et notre continent sortent gagnants du bras de fer international auquel nos économies, et donc nos emplois, sont confrontés.

Voir le site correspondant.

Plan Dépendance

, 09:34

Une réforme historique de solidarité pour les personnes dépendantes

Le Premier Ministre a présenté le 6 novembre une réforme historique : la création d'une nouvelle branche de notre protection sociale.

Elle consacre pour la première fois une prise en charge globale de la dépendance.

Cette grande réforme ouvrira des droits nouveaux, personnalisés, facilement accessibles et garantis en faveurs des personnes âgées et des personnes handicapées par la Caisse Nationale de Solidarité pour l'Autonomie.

Une nécessité d'action : remettre en 4 ans la France parmi les pays européens les plus attentifs à la situation personnelle des personnes dépendantes.

En 1945, la Sécurité Sociale a été créée pour faire face aux risque maladie, vieillesse, famille et accidents du travail ; aujourd'hui, un nouveau risque est apparu : la dépendance.

Notre pays a été profondément meurtri par les conséquences de la canicule. Ce drame a mis en lumière les retards de notre pays dans la prise en charge de la dépendance et révélé un devoir d'action car nous avions pris du retard.

Nous vivons plus longtemps : c'est une bonne nouvelle, mais l'ensemble des conséquences humaines de ce vieillissement (perte d'autonomie, isolement, fragilité) a été insuffisamment pris en compte jusqu'ici.

L'objectif de ce plan ambitieux sur 4 ans est de remettre la France au meilleur niveau européen pour la prise en charge des personnes dépendantes.

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Budget du Logement : la mise au point de RC

, 08:53

A l'occasion d'une réunion de travail avec Gilles de ROBIEN, Richard CAZENAVE a pu s'entretenir avec le Ministre de la réalité du budget du Logement pour 2004. Les chiffres sont très loin du sombre tableau que dessine le Maire de Grenoble (Le Dauphiné Libéré du 27 septembre).

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La vérité sur les retraites

, 10:43

RETRAITES : RETABLISSONS LA VERITE !

Nous sauverons nos retraites en partageant nos efforts :

« Est-ce que ça veut dire que la durée de cotisation va être la même pour tout le monde ? »
OUI
40 ans en 2008 pour tous : les fonctionnaires comme les salariés du privé. Ces 40 ans comprendront les années travaillées à plein temps ou à mi temps mais aussi les années bonifiées et les années de chômage.
« Je travaille dans le secteur privé et je comptais prendre ma retraite dans deux ou trois ans. Qu’est-ce qui change pour moi ? »
RIEN
La réforme ne s’appliquera qu’à partir de 2008 et de manière très progressive. Elle ne bouleverse pas les projets de ceux qui sont proches de la retraite.
« Je suis fonctionnaire. Est-ce que je devrai travailler plus longtemps ? »
La réforme assure le maintien du niveau de pension en travaillant 6 mois de plus chaque année à partir de 2004, soit 2 ans et demi de plus en 2008. Dans tous les cas, les limites d’âge prévues par les statuts sont garanties par la loi.
Aucun enseignant, sauf s’il le désire, ne travaillera au-delà de 65 ans, et ceci, sans décote.
Aucun policier, sauf s’il le désire, ne travaillera au-delà de 55 ans et ceci, sans décote.
« Pourrai-je partir sans avoir mes 40 ans de cotisations ?»
OUI
Le montant de la retraite, dans le secteur privé ou dans la fonction publique, sera alors fonction de votre durée de cotisation et de votre âge.
Dans le secteur public, si vous avez atteint la limite d’âge, vous ne subirez aucune décote.
« Est-ce que je vais travailler plus longtemps pour avoir une retraite plus basse ? »
NON
Vous garderez le même niveau de retraite en travaillant un peu plus longtemps, et vous pourrez même l’améliorer en travaillant au-delà de la durée normale de cotisation.
Sans réforme, le niveau des retraites serait à terme divisé par deux.
« Je suis fonctionnaire. Est-ce que l'on va enfin prendre en compte mes primes ? »
OUI
Les primes des fonctionnaires seront désormais prises en compte dans la limite de 20 % de leur traitement.
Dès l’année prochaine, tous les fonctionnaires cotiseront dans un régime obligatoire, à part égale avec leur mployeur.

Nous sauverons nos retraites en introduisant plus de justice :

« Je travaille depuis l’âge de 15 ans. Est-ce que je vais enfin pouvoir partir avant 60 ans ? »
OUI
Pour la première fois, ceux qui ont commencé à travailler avant 16 ans pourront toucher une retraite à taux plein avant 60 ans.
« Je travaille dans le secteur privé. J’ai pris un congé parental de 2 ans pour élever mes enfants. Ces années seront-elles prises en compte ?»
OUI 
Ces deux années compteront comme si vous aviez travaillé.
« Et pour moi qui ai touché le SMIC pendant toute ma vie professionnelle, quel sera le montant de ma retraite ? »
Avec la réforme, vous avez la garantie de toucher 85 % du SMIC net. Sans réforme, ce serait à terme moins de 60%.

Nous sauverons nos retraites en donnant plus de liberté :

« Et si je veux continuer à travailler ? »
Avec la réforme, vous pourrez choisir de continuer à travailler après avoir acquis tous vos droits : votre pension sera alors augmentée de 3 % par an. Votre retraite pourra ainsi être améliorée jusqu’à 15%.
« Et pour moi qui suis entré tard dans la vie active, quel est mon choix ? »
Vous aurez la possibilité de racheter jusqu’à trois années, quel que soit votre âge, pour augmenter le montant de votre retraite. De toute façon, au-delà de la limite d’âge, vous toucherez votre retraite sans décote.
« Et si je veux toucher ma retraite tout en continuant à travailler ? »
C’est possible : la réforme assouplit les conditions qui permettent de bénéficier de sa retraite tout en continuant à travailler.

Voilà la vérité sur la réforme des retraites, loin des idées reçues, des raccourcis et des caricatures.

Elle correspond point par point aux engagements que nous avons pris lors de la campagne des élections législatives de juin 2002 auxquels les Français ont très largement souscrits, condamnant là encore l'immobilisme des 5 années du gouvernement de gauche.

Trois mois de discussions avec les organisations syndicales ont permis de mettre au point le projet du gouvernement. Cette réforme est la bonne réforme, préparant l'avenir de manière responsable et raisonnable. Je compte maintenant sur vous pour la défendre comme je le ferai moi-même à l'Assemblée Nationale début juin.

Aux opposants à la réforme

, 10:27

Aux opposants à la réforme des retraites en général,

Aux dirigeants du Parti Socialiste en particulier…

POURQUOI… proposer maintenant une "réforme alternative" alors que vous avez eu 5 années de croissance pour la mettre en œuvre ?

POURQUOI… ne pas avoir augmenté la CSG et les charges sur le Travail pour financer les retraites comme vous le proposez aujourd'hui ?

POURQUOI… ne pas avoir supprimé la réforme Balladur de 1993 alors que vous aviez 5 ans pour le faire ?

POURQUOI… ne pas avoir intégré les primes des fonctionnaires dans le calcul de leur retraite ?

POURQUOI… de 1997 à 2002 n'avoir pas réformé le système de retraite ?

POURQUOI N'AVOIR RIEN FAIT ?

A vous de leur poser la question !

Droit de vote des étrangers

, 10:05

Consultation sur le droit de vote des étrangers non communautaires :

Richard CAZENAVE dénonce la pseudo-consultation organisée en catimini par le Maire de Grenoble dans des conditions qui enlèvent toute signification à ce vote et ramène cette opération à sa réalité : une simple gesticulation politicienne.

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Audit des finances publiques

, 09:49

Quelques exemples de dépenses sous-évaluées en loi de finances initiale pour 2002 et d'engagements non financés.

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